Mon imagination est délirante... Je suis sûre d'avoir aperçu Ondine, la fée. Les mots se mèlent à la cascade, et ne restent audibles que pour ceux qui savent entendre.
A
Aicha
09/07/2008 21:28
Servanne> Je ne connais pas ce poème de Verlaine ma douce Servanne, à moins que tu veuilles parler de l'ophélie de Rimbaud (qui est sublime!)?<br />
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Eva> Les ondines étaient aussi dans certains de tes clichés sur la Lettonie...j'y ai trouvé cette même douceur.<br />
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Pierre> Tes iris m'enchantent Pierre et chacun de mes passages est un plaisir.:)<br />
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Kaikan> Je me suis noyée étant enfant et pourtant l'eau m'a toujours semblée douce et accueillante. J'aime beaucoup plonger et rester suspendue entre "ciel et terre". Moi aussi j'ai un proche qui a voulu mourir dans l'eau. Peut-être, un appel à naitre à nouveau ailleurs puisque c'est dans cet élément que nous naissons...<br />
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Dourvac'h> Quand j'écrirai une oeuvre initiatique telle l'odyssée, je trouverai bien un fé(e)minin à ce mot! ;)<br />
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Bruno> Evaporés<br />
les mots<br />
dans mes yeux<br />
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L'oursonne> n'est-ce pas toi l'ondine esquissée par l'aède Dourvac'h sur un coin de lucarne? <br />
;)
L
l oursonne
09/07/2008 18:55
Entendez vous le chant des fées sous la cascade, lorsque peignent leurs longs cheveux d'or ? Vêtues d'un voile d'eau et coiffées de feuillages, elles sont l'esprit de la forêt et la respiration de la terre.<br />
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Tes photos sont superbes, Aïcha, et quel merveilleux écrin pour un tel poème.<br />
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Bisous doux